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Affaire Avinash Hingorani/EcoMatin : pour Kalara l’homme d’affaires indien veut intimider EcoMatin

L’hebdomadaire du monde juridico-judiciaire marque un temps d'arrêt sur cette affaire opposant EcoMatin au richissime homme d'affaires indien Avinash Omprakash Hingorani.

«Révolté que le journal ait prêté attention aux dénonciations de maltraitance et autres abus faites par ses compatriotes et anciens employés, le milliardaire Avinash Hingorani, promoteur des entreprises «Reve Voyages » et «Sammys Creations » met la justice en branle contre le journal de l’économie et des finances », écrit Kalara, qui poursuit «À travers une procédure riche en curiosités ».  

Le N°395 du journal  de Christophe  Bobiokono comme plusieurs journaux depuis le début de l’affaire Avinash/EcoMatin s’est intéressé sur ce dossier en sa parution du 17 août 2021, en  y consacrant sa deuxième une. Spécialisé sur les questions juridico-judiciaires, le média s’interroge sur la procédure judiciaire qui encadre cette affaire, en posant une question fondamentale. «Est-il d’office interdit de présenter ses moyens de preuve éventuels, donc condamné par avance, dans le cadre du procès public qui est déjà en cours ? ». Kalara souligne par la même occasion qu’ « il faudra sans doute attendre les débats pour avoir une réponse ». Christophe Bobiokono qui signe l’article ne manque pas de mettre en avant les incompréhensions de la procédure judiciaire qui régit le dossier,« selon des sources proches des milieux judiciaires, la mise en jugement du patron de EcoMatin s’est faite à la suite d’une procédure judiciaires qui ne manque pas de curiosités », indique la journal qui convoque la Loi de 1990 sur la liberté de communication sociale qui prévoit en son article 81, que «le prévenu qui veut faire la preuve des faits diffamatoires dispose de 5 jours après la citation pour signifier au ministère public ou au plaignant à son domicile élu, selon le cas :(1) les faits qualifiés dans la citation dont il entend prouver la vérité ; (2) la copie des pièces ; (3) les noms, professions et domicile de ses témoins », conclut   Kalara.

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